Déclaration du premier ministre Ranj Pillai et de la ministre de l’Éducation Jeanie McLean :
« Aujourd’hui marque le 17e anniversaire de la Journée du chandail rose, un geste de sensibilisation à l’intimidation dans toutes ses formes. Soulignée pour la première fois au Canada en 2007, la Journée a maintenant une portée mondiale : l’an dernier, elle a eu lieu dans plus de 110 pays. Cette journée représente notre engagement collectif à favoriser le respect, la diversité et l’affirmation de soi.
« Les jeunes 2ELGBTQIA+ subissent beaucoup plus d’intimidation que leurs pairs hétérosexuels et cisgenres. Nous travaillons actuellement au renforcement de la politique relative à l’orientation sexuelle et à l’identité de genre. Cette démarche démontre notre souci de promouvoir le respect et l’inclusivité. Notre partenariat avec l’organisme de bienfaisance ARC Foundation pour mettre en œuvre le programme SOGI 1 2 3 dans les écoles est au cœur de ces travaux, car il confirme que nos actions sont efficaces et prises de façon éclairée.
« Le droit au respect est un fondement de notre travail, qui vise à créer des milieux d’apprentissage accueillants, inclusifs et où on peut être soi-même. De tels milieux sont essentiels à l’émergence d’un sentiment d’appartenance qui favorise une bonne santé mentale, le rendement scolaire et la réussite dans la vie.
« La sécurité, le respect et l’inclusion ne sont pas des objectifs : ce sont des droits garantis aux élèves et au personnel de nos écoles publiques. Ces droits sont protégés, peu importe l’orientation sexuelle, l’identité de genre, l’ascendance, le lieu de naissance, l’ethnicité, la citoyenneté, la religion, l’âge ou les capacités d’une personne.
« La Politique relative aux écoles sûres et accueillantes exprime notre engagement à favoriser des milieux sûrs et bienveillants qui sont empreints de respect. Elle définit des normes et des procédures qui visent à atténuer la violence, l’intimidation et la discrimination et qui assurent une réponse ferme quand elles surviennent.
« Il est possible qu’un enfant qui vit de l’intimidation n’en parle pas. Par conséquent, il est essentiel de pouvoir reconnaître les signes de détresse et de savoir y répondre. On peut penser à une réticence à aller à l’école, à un changement de comportement, à la diminution du rendement scolaire ou à l’évitement des interactions sociales. La montée de la cyberintimidation nous pousse à porter notre attention sur la sécurité en ligne. C’est un thème qui fait partie intégrante du programme d’études, de la maternelle à la 12e année.
« À l’occasion de la Journée du chandail rose, nous renouvelons notre engagement à lutter contre l’intimidation et à cultiver le respect et la bienveillance. Ensemble, nous pouvons créer des écoles sûres et inclusives où les élèves se sentent respectés. »
Jordan Owens
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