Travel assistance is available for victims of violence who need to escape an unsafe situation or get access to services outside their community. Call Victim Services at 867-667-8500 or visit yukon.ca/gbv-travel to find out more.
Travel assistance is available for victims of violence who need to escape an unsafe situation or get access to services outside their community. Call Victim Services at 867-667-8500 or visit yukon.ca/gbv-travel to find out more.
Qu’est-ce que la violence familiale?
La violence familiale est également appelée :
Il existe divers types de violence, notamment :
Différents types de comportements violents constituent des infractions criminelles, notamment :
Les personnes qui subissent de la violence :
Certaines catégories de personnes subissent des formes de violence familiale plus fréquentes et plus graves, notamment les femmes autochtones et les personnes lesbiennes, gaies, bisexuelles, transgenres, allosexuelles et bispirituelles (LGBTAB). Certaines personnes font également face à des difficultés pour obtenir de l’aide ou signaler une situation violente.
Aucun type de relations n’est à l’abri de la violence, elle peut se produire :
Si vous avez répondu « oui » à au moins une de ces questions, il se peut que vous soyez dans une relation de violence.
Les enfants et les adolescents peuvent être victimes de maltraitance. Être témoin d’actes de violence subis ou commis par un parent, tuteur ou membre de la famille peut avoir de graves répercussions sur eux.
Pour en savoir plus :
Aider un enfant victime d’acte criminel.
À moins que la personne violente ne soit réellement déterminée à modifier son comportement, la violence tend généralement à augmenter.
Il faut beaucoup de courage pour demander de l’aide, mais sachez que vous n’êtes pas la seule personne à vivre une telle situation. De nombreuses victimes de violence trouvent réconfortant de parler à quelqu’un en qui elles ont confiance.
Assurez-vous de savoir quoi faire si vous devez agir rapidement.
Si vous avez accès à un téléphone, composez le 911. Il n’est pas nécessaire de craindre pour votre vie pour demander de l’aide. Si vous vous croyez être en danger immédiat, mentionnez-le au téléphoniste.
Préparez un plan de sécurité pour vous et vos enfants au cas où il vous faudrait quitter la maison rapidement, ou si vous prévoyez mettre fin à la relation.
Un bon plan de sécurité consiste entre autres à ranger dans un endroit sûr et facilement accessible vos pièces d’identité et autres documents importants, avec un peu d’argent.
Vous souhaitez échapper à une situation de violence conjugale? Obtenez de l’aide!
Appelez la ligne mise à la disposition des victimes de violence et de mariage forcé par Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada (IRCC). Composez le 1-888-242-2100 et choisissez l’option 6.
Il pourrait s’avérer utile de monter un dossier sur la violence que vous subissez.
Les personnes violentes qui souhaitent modifier leur comportement peuvent obtenir de l’aide :
Assurez-vous de savoir quoi faire si vous devez agir rapidement.
Si vous avez accès à un téléphone, composez le 911. Il n’est pas nécessaire de craindre pour votre vie pour demander de l’aide. Si vous vous croyez être en danger immédiat, mentionnez-le au téléphoniste.
Préparez un plan de sécurité pour vous et vos enfants au cas où il vous faudrait quitter la maison rapidement, ou si vous prévoyez mettre fin à la relation.
Un bon plan de sécurité consiste entre autres à ranger dans un endroit sûr et facilement accessible vos pièces d’identité et autres documents importants, avec un peu d’argent.
Vous souhaitez échapper à une situation de violence conjugale? Obtenez de l’aide!
Appelez la ligne mise à la disposition des victimes de violence et de mariage forcé par Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada (IRCC). Composez le 1-888-242-2100 et choisissez l’option 6.
Vous aurez plusieurs choses à régler, commencez par réfléchir aux éléments suivants :
Les employés des Services aux victimes ou d’autres organismes de soutien peuvent vous aider à vous y retrouver.
Ils pourront :
Les comportements violents ne s’arrêtent pas nécessairement lorsque vous partez.
L’agresseur peut tenter de vous contrôler :
Il pourrait être en train d’enfreindre une ordonnance de non-communication.
Gardez :
S’il enfreint les conditions de l’ordonnance, informez-en :
Vous pouvez demander une permission d’absence longue durée de votre logement. Les Services aux victimes, une maison d’hébergement ou un autre organisme de soutien peuvent rédiger une lettre d’appui à votre demande.
Quitter un partenaire violent n’est pas une décision facile; vous dépendez peut-être de lui pour plusieurs raisons, notamment :
Les Services aux victimes seront là pour vous, peu importe où vous en êtes.
Il est possible que vous ne réussissiez pas à quitter définitivement votre partenaire violent dès votre première tentative. De nombreuses personnes sont dans la même situation, n’hésitez pas à demander de l’aide.
Les personnes violentes qui souhaitent modifier leur comportement peuvent obtenir de l’aide :
La loi interdit à quiconque de vous agresser. Si vous composez le 911, la GRC sera envoyée sur place. La GRC pourrait aussi être appelée par un voisin qui croit qu’une agression est en train d’être commise.
Les policiers :
Les policiers vous demanderont :
Si des accusations sont portées, les policiers auront besoin de votre aide pour recueillir les preuves, par exemple :
Si des enfants sont présents, la GRC doit communiquer avec les Services à la famille et à l’enfance. La situation pourrait avoir des répercussions sur eux.
Si vous estimez être en sécurité, vous pouvez décider de demeurer dans votre logement.
Si vous vous identifiez comme femme, les policiers pourraient vous recommander d’aller dans une maison d’hébergement. La décision vous appartient.
Faites une demande d’aide financière d’urgence s’il vous faut effectuer des travaux pour sécuriser votre maison (réparer une porte ou une fenêtre, changer les serrures, etc.).
Si la police a déposé des accusations contre votre partenaire, celui-ci se verra imposer des conditions, notamment :
Ce qui arrive quand une accusation est portée.
Les meurtrissures pourraient n’apparaître qu’après un certain temps. Les policiers devraient alors prendre des photos. En principe, ils devraient communiquer avec vous, mais, s’ils ne le font pas, communiquez avec la GRC pour demander que des photos soient prises.
La GRC vous aiguillera vers les Services aux victimes ou, si vous êtes d’accord, nous donnera vos coordonnées. C’est à vous de décider.
Si vous vous identifiez comme étant une femme, les policiers pourraient vous recommander d’aller dans une maison d’hébergement. Les maisons d’hébergement et autres organismes d’aide pourront vous renseigner et vous apporter un soutien émotionnel.
Si vous avez quitté le domicile familial, il sera peut-être difficile d’y retourner après le dépôt d’accusations contre votre partenaire.
Dans les cas de violence familiale, la décision de porter des accusations ne vous appartient pas; elle incombe aux policiers.
La victime ne peut pas demander le retrait ou l’abandon des accusations; cela empêche ainsi la personne au comportement violent de faire pression sur la victime ou de la menacer pour qu’elle renonce aux accusations.
Communiquez avec les Services aux victimes pour vous renseigner sur le processus judiciaire.
Une agression est une infraction criminelle. La police est tenue de porter des accusations s’il existe des preuves que l’un ou l’autre des partenaires a fait l’objet d’une agression physique.
Il ne vous appartient pas de décider si une accusation sera portée ou non; cette décision revient aux forces policières.
Normalement, si les policiers portent des accusations, ils :
Your phone call to the police:
Appelez la ligne mise à la disposition des victimes de violence et de mariage forcé par Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada (IRCC). Composez le 1-888-242-2100 et choisissez l’option 6.
Si des accusations sont portées, les policiers ont deux options :
Avant d’être libérée, la personne inculpée devra signer une promesse comme quoi elle comparaîtra devant le tribunal à la date déterminée.
La promesse est habituellement assortie d’une ordonnance de non-communication. Cela signifie que la personne :
La personne accusée pourrait être gardée en détention, à moins qu’un juge autorise sa mise en liberté sous caution au terme d’une enquête sur le cautionnement.
Demandez aux policiers de vous indiquer :
Le non-respect d’une ordonnance de non-communication constitue une infraction criminelle. Signalez à la GRC tout manquement aux conditions.
Les Services aux victimes peuvent vous expliquer les options qui s’offrent à vous dans le processus judiciaire.
Normalement, les personnes inculpées de violence conjugale comparaissent pour la première fois devant le Tribunal avec option d’atténuation de la peine pour violence familiale.
Si la personne accusée assume la responsabilité de ses actes :
Cette option offre les services suivants aux personnes accusées de violence conjugale :
Si la personne accusée n’assume pas la responsabilité de ses actes :
Dans les cas de violence familiale, la décision de porter des accusations ne vous appartient pas; elle incombe aux policiers.
La victime ne peut pas demander le retrait ou l’abandon des accusations; cela empêche ainsi la personne au comportement violent de faire pression sur la victime ou de la menacer pour qu’elle renonce aux accusations.
Communiquez avec les Services aux victimes pour vous renseigner sur le processus judiciaire.
Communiquez avec les Services aux victimes pour connaître les options qui s’offrent à vous.
En personne (sans rendez-vous) : Nos bureaux sont ouverts du lundi au vendredi, de 8 h à 16 h 30.
Courriel : victim.services@yukon.ca
Téléphone : 867-667-8500
Sans frais : 1-800-661-0408, poste 8500
212, Main Street, bureau 210, 2e étage
Téléphone : 867-993-5831
813B, 3e Avenue
Téléphone : 867-536-2541
820 Adela Trail